studio C
workshop avec Gilles MALATRAY
du 16 au 20 décembre 2013
L’écriture de paysages sonores in situ
Espaces sonores urbains
Appréhender, parcourir
Parcourir, déambuler, errer… La marche urbaine comme terrain d’expérience, le contextuel et la sérendipité comme moteurs d’exploration.
Des postures inspirées de Guy Debord, l’errance situationnisme et l’approche de constructions esthétiques et politiques (au sens large du terme) – et de Georges Perec, l’écriture littéraire et l’expérience physique de l’espace, les tentatives d’épuisement d’un lieu…
Ressentir percevoir
Entendre, écouter, mais aussi regarder, toucher, se frotter, approche sensible, synesthésique…
Capturer, mémoriser, tracer
Écoute in situ (parcours, points d’ouïe, scénophonies…), captations (field recordings), carnets de croquis, carnets de notes, commentaires in situ, la trace comme outil de construction…
Jouer, exciter
Faire sonner, amplifier, filtrer, exciter les effets, les architectures, révéler les signatures acoustiques, performances/improvisations, vers un activisme sonore…
Réécrire, composer, installer
De l’extraction brute à la réécriture de paysages audionumériques, frottements in situ et/ou supports, dispositifs délocalisés, rapports et passages de scènes extérieures/intérieures, réduction/élargissements d’espaces, mises en scènes de lieux écoutes (scénophonies), installer des sons dans l’espace public, écrire un espace, un parcours urbain avec des sons…