alain,
J’ai appris à te connaitre par ta maman qui me parle de toi, de ta gentillesse, de ta générosité, de ton affection envers ta famille, de ton attirance pour l’art de la photo, de tes projets d’un jeune de 25 ans, de tes amis. Tu leur manques tellement !
En hommage à ta mémoire et pour te rendre heureux, entends tu tes CD que ta maman te repasse dont “Muse” que tu aimais ?
Là où tu es depuis 5 ans, reposes en paix, et veilles sur ceux qui t’aiment à l’infini.
chaque nuit, chaque jour je pense à toi
tu as été mon frère, mon meilleur ami et bien plus.
demain tu le sais, je te laisserais un petit mot près du fleuve où je vais faire un camping.
les mots les plus simples que tu aimais,
et puis ta carte ridicule de Uma Thurman. Puis je vais faire un graffiti version poitiers en ton honneur.représente le 86 vieille greluche.
ta germaine, comme tu m’appelais si bien
Il ne se passe pas un jour sans que je n’ai une pensée pour toi,
tu es et resteras dans mon esprit autant que dans mon coeur.
Pour toutes ces nuits au golden virginia et au café froid à refaire le monde du cinéma et de la littérature, pour tout ce que tu as accepté de partager avec moi, pour ta confiance et tes conseils…
Je ne le connaissais que très peu, puisque nous nous sommes retrouvés que quelques heures seulement dans cet univers rouge-orangé des ampoules in actinique, des chimie, du silence. Et malgré le fait que nous n’ayons échangé que quelques mots, deux trois conseils ça et là, c’est avec beaucoup de regrets que j’apprends cette triste nouvelle.
A cette vie prise bien trop tôt.
Toutes mes condoléances à la famille.
J’ai appris pour ta disparition Alain.
La mort t’a chopé vilainement et bien trop tôt, toi qui commençait seulement ta lancée dans l’aventure de la vie.
Je ne te remercierai jamais assez pour tes poses à l’école qui ont enrichi une part de mon travail et je suis vraiment désolé de ne pas t’avoir mieux rencontré.
Toute ma sympathie à tes proches qui doivent en avoir gros sur la patate.
des bises… où que tu sois.
We don’t bleed when we don’t fight
Go ahead go ahead
Throw your arms in the air tonight
We don’t bleed when we don’t fight
Go ahead go ahead
Throw your shirts in the fire tonight
What makes you think I’m enjoying being led to the flood
We got another thing comin’ undone
Un souvenir
on n’a pas beaucoup parlé. Mais là où on s’est rencontrés c’était à l’école lors du bilan du premier semestre cette année. Laurent Nicolas et Fred faisaient des commentaires à ton accrochage en salle des troisièmes années. Je suis resté écouter comme pour les autres étudiants. Et à la fin on est restés seuls tous les deux en silence. Je regardais ton travail et j’ai commencé à te faire des retours en trouvant avec toi le sens à ce travail et à cet accrochage complexe. petit à petit on voyait ensemble émerger le sens du désir qui avait amené à cette forme. Et je t’ai vu t’illuminer, commencer à te comprendre et à te sentir d’une autre façon.
On a continué à bavarder et tu as voulu me suivre en sortant de la salle. On a eu une conversation d’une demie heure sur comment tu avais des difficultés à exprimer en mot ce qui t’avait amené à ce que tu avais fait. Et j’ai senti une intérieur nourri, riche. Qui avait du mal a nommer, mais qui n’était pas moins profond et riche pour autant. On a communiqué un peu d’intérieur à intérieur. J’ai senti un artiste.
Je souhaite à ta famille la force pour continuer à te garder auprès d’eux au travers de ce que tu leur a apporté et qui continuera à vivre en eux.
Ecouter “Wish you were here” des Pink Floyd, tu disais. Et bien c’est avec ce même verre de vin que je le fais ce soir, parce qu’il m’est impossible de dormir.
Ta présence me manque déjà terriblement, si tu savais…
Jamais je n’aurais cru que ce chemin de chez toi à la gare resterait autant dans ma mémoire et pourtant c’est ainsi, il restera comme le dernier moment que nous aurons partagé ensemble. Toutes ces histoires racontées, toute cette folie que tu avais en toi et que j’aimais tant me font dire aujourd’hui que je suis extrêmement fière de te connaître comme je te connais. C’est un bien triste anniversaire que je vais fêter sans toi dans quelques jours.
Alain,
L’ironie aquatique est violente, irréelle.
Le “destin” ne suffit pas à expliquer ce désordre de l’univers, cette bavure anonyme.
Je voulais te remercier pour tes sourires.
Attrapés à l’Ema, entre deux paquets de pâtes dans les rayons de Monoprix, dans une rue… Tu avais toujours le temps pour être agréable.
Il est injuste que les météores soient éphémères. Tu manques à l’Ensemble. Ton visage fait sursauter la conscience.Ta disparition réveille l’urgence de vivre.
Une pierre a assommé l’oiseau
Et malgré tout, il doit faire beau…
Des pensées pour toi, pour les élèves de l’EMA, ta famille et tout ceux qui t’aiment.
Au début, j’ai eu quelques nouvelles et j’ai cru à un canular. Puis j’ai vu ta photo sur le site, et j’ai espéré qu’il ne s’agissait que d’une blague d’un très mauvais goût. Enfin, un coup de fil m’a laissé un goût amère dans la bouche. Les deux années où je te croisais dans les couloirs me semblent bien loin maintenant. Bien que je n’ai jamais pris le temps de vraiment te connaitre, j’ai toujours eux de la sympathie pour toi, et ta disparition soudaine m’a profondément chamboulé. Où que tu sois maintenant, je t’adresse un dernier hommage.
C’est avec beaucoup de peine et du fond du cœur que je te dis : adieux.
J’ai beaucoup de peine, et en même temps je ne parviens pas à réaliser que je ne le croiserai plus, qu’il n’est plus là… Un peu comme si ce n’était pas réel.
Mes sincères condoléances à sa famille, ses amis et les personnes qui ont aimé, comme moi, passer du temps avec lui. Je ne l’oublierai jamais.
Je comprends pas. C’est du gachis, c’est trop injuste… Je pense tout le temps à toi Alain, tu vas énormément me manquer. C’était toujours un grand plaisir de te voir.. T’avais de très grande qualité, tu aimais les gens tel qu’ils étaient et c’est sur que tu étais très doué artistiquement, enfin tu étais une personne en or comme on en rencontre très rarement… Je repense aux années de lycée et à tous les festivals que l’on a fait ensemble. Tu nous a quitté trop tôt… Tu vas me manquer…
La vie est trop injuste, que peut on dire si ce nest que nous gardons de toi le souvenir d’un petit garçon plein de joie, toujours souriant,adorable et courageux.
Nous sommes très peinés par ta disparition et nous n’oublierons jamais les bons momments que tu as passé chez nous avec notre fils Jérémy.
Une pensée pour tes parents qui sont si fière de toi.La vie est vraiment injuste et la mort si cruelle.
Nous ne t’oublierons jamais Alain.
Si j’avais encore ma baguette magique, j’aurais construis un immense château en carton hier soir dans les rues de Chalon. Mais puisque je l’ai perdue, un petit bateau en papier est parti voguer ce soir sur le lac Otis, au Québec. J’espère qu’il fera bon voyage.
Toutes mes pensées, pour toi Alain, et puis pour mes potes ématiens tristes de l’autre coté de l’Atlantique.
alain,
J’ai appris à te connaitre par ta maman qui me parle de toi, de ta gentillesse, de ta générosité, de ton affection envers ta famille, de ton attirance pour l’art de la photo, de tes projets d’un jeune de 25 ans, de tes amis. Tu leur manques tellement !
En hommage à ta mémoire et pour te rendre heureux, entends tu tes CD que ta maman te repasse dont “Muse” que tu aimais ?
Là où tu es depuis 5 ans, reposes en paix, et veilles sur ceux qui t’aiment à l’infini.
Un signe pour la famille, les amis de ce jeune homme . Une inconnue .
chaque nuit, chaque jour je pense à toi
tu as été mon frère, mon meilleur ami et bien plus.
demain tu le sais, je te laisserais un petit mot près du fleuve où je vais faire un camping.
les mots les plus simples que tu aimais,
et puis ta carte ridicule de Uma Thurman. Puis je vais faire un graffiti version poitiers en ton honneur.représente le 86 vieille greluche.
ta germaine, comme tu m’appelais si bien
Il ne se passe pas un jour sans que je n’ai une pensée pour toi,
tu es et resteras dans mon esprit autant que dans mon coeur.
Pour toutes ces nuits au golden virginia et au café froid à refaire le monde du cinéma et de la littérature, pour tout ce que tu as accepté de partager avec moi, pour ta confiance et tes conseils…
Je ne te remercierai jamais assez…
Je t’embrasse vieux poulain, où que tu sois.
Je ne le connaissais que très peu, puisque nous nous sommes retrouvés que quelques heures seulement dans cet univers rouge-orangé des ampoules in actinique, des chimie, du silence. Et malgré le fait que nous n’ayons échangé que quelques mots, deux trois conseils ça et là, c’est avec beaucoup de regrets que j’apprends cette triste nouvelle.
A cette vie prise bien trop tôt.
Toutes mes condoléances à la famille.
J’ai appris pour ta disparition Alain.
La mort t’a chopé vilainement et bien trop tôt, toi qui commençait seulement ta lancée dans l’aventure de la vie.
Je ne te remercierai jamais assez pour tes poses à l’école qui ont enrichi une part de mon travail et je suis vraiment désolé de ne pas t’avoir mieux rencontré.
Toute ma sympathie à tes proches qui doivent en avoir gros sur la patate.
des bises… où que tu sois.
We don’t bleed when we don’t fight
Go ahead go ahead
Throw your arms in the air tonight
We don’t bleed when we don’t fight
Go ahead go ahead
Throw your shirts in the fire tonight
What makes you think I’m enjoying being led to the flood
We got another thing comin’ undone
Un souvenir
on n’a pas beaucoup parlé. Mais là où on s’est rencontrés c’était à l’école lors du bilan du premier semestre cette année. Laurent Nicolas et Fred faisaient des commentaires à ton accrochage en salle des troisièmes années. Je suis resté écouter comme pour les autres étudiants. Et à la fin on est restés seuls tous les deux en silence. Je regardais ton travail et j’ai commencé à te faire des retours en trouvant avec toi le sens à ce travail et à cet accrochage complexe. petit à petit on voyait ensemble émerger le sens du désir qui avait amené à cette forme. Et je t’ai vu t’illuminer, commencer à te comprendre et à te sentir d’une autre façon.
On a continué à bavarder et tu as voulu me suivre en sortant de la salle. On a eu une conversation d’une demie heure sur comment tu avais des difficultés à exprimer en mot ce qui t’avait amené à ce que tu avais fait. Et j’ai senti une intérieur nourri, riche. Qui avait du mal a nommer, mais qui n’était pas moins profond et riche pour autant. On a communiqué un peu d’intérieur à intérieur. J’ai senti un artiste.
Je souhaite à ta famille la force pour continuer à te garder auprès d’eux au travers de ce que tu leur a apporté et qui continuera à vivre en eux.
Ecouter “Wish you were here” des Pink Floyd, tu disais. Et bien c’est avec ce même verre de vin que je le fais ce soir, parce qu’il m’est impossible de dormir.
Ta présence me manque déjà terriblement, si tu savais…
Jamais je n’aurais cru que ce chemin de chez toi à la gare resterait autant dans ma mémoire et pourtant c’est ainsi, il restera comme le dernier moment que nous aurons partagé ensemble. Toutes ces histoires racontées, toute cette folie que tu avais en toi et que j’aimais tant me font dire aujourd’hui que je suis extrêmement fière de te connaître comme je te connais. C’est un bien triste anniversaire que je vais fêter sans toi dans quelques jours.
Je t’adore,
Marine.
Une douce pensée pour toi ce soir, face a toutes ces étoiles au bord de la Saône, toutes ces couleurs pour ne pas oublier, ne pas t oublier…
Merci Alain pour tout ces moments en ta compagnie, ta joie & surtout ton dévouement entier a l’art au sein d’ema !!!
Tu étais qqun d’exception qqun que j’oublierais jamais que dieu te protège toi ainsi que ta famille maintenant que tu n’es plus des nôtres !
Continue a nous faire voyager de la ou tu es désormais par le biais de t fantastique travaux !
Merci pour ces 3 ans , merci pour tout tt simplement… Tu étais le meilleur !
Je suis fier aujourd’hui de ce tu as accompli
A bientôt !
Alain,
L’ironie aquatique est violente, irréelle.
Le “destin” ne suffit pas à expliquer ce désordre de l’univers, cette bavure anonyme.
Je voulais te remercier pour tes sourires.
Attrapés à l’Ema, entre deux paquets de pâtes dans les rayons de Monoprix, dans une rue… Tu avais toujours le temps pour être agréable.
Il est injuste que les météores soient éphémères. Tu manques à l’Ensemble. Ton visage fait sursauter la conscience.Ta disparition réveille l’urgence de vivre.
Une pierre a assommé l’oiseau
Et malgré tout, il doit faire beau…
Des pensées pour toi, pour les élèves de l’EMA, ta famille et tout ceux qui t’aiment.
que de bons souvenirs,
une grosse pensée à tout ceux qui reste
Au début, j’ai eu quelques nouvelles et j’ai cru à un canular. Puis j’ai vu ta photo sur le site, et j’ai espéré qu’il ne s’agissait que d’une blague d’un très mauvais goût. Enfin, un coup de fil m’a laissé un goût amère dans la bouche. Les deux années où je te croisais dans les couloirs me semblent bien loin maintenant. Bien que je n’ai jamais pris le temps de vraiment te connaitre, j’ai toujours eux de la sympathie pour toi, et ta disparition soudaine m’a profondément chamboulé. Où que tu sois maintenant, je t’adresse un dernier hommage.
C’est avec beaucoup de peine et du fond du cœur que je te dis : adieux.
Nicolas
J’ai beaucoup de peine, et en même temps je ne parviens pas à réaliser que je ne le croiserai plus, qu’il n’est plus là… Un peu comme si ce n’était pas réel.
Mes sincères condoléances à sa famille, ses amis et les personnes qui ont aimé, comme moi, passer du temps avec lui. Je ne l’oublierai jamais.
C’est beaucoup d’amertume que je te salue Alain, t’as été un partenaire de travail, un ami .
merci
Une pensée pour un élevé soucieux de son travail et très impliqué.
Je comprends pas. C’est du gachis, c’est trop injuste… Je pense tout le temps à toi Alain, tu vas énormément me manquer. C’était toujours un grand plaisir de te voir.. T’avais de très grande qualité, tu aimais les gens tel qu’ils étaient et c’est sur que tu étais très doué artistiquement, enfin tu étais une personne en or comme on en rencontre très rarement… Je repense aux années de lycée et à tous les festivals que l’on a fait ensemble. Tu nous a quitté trop tôt… Tu vas me manquer…
La vie est trop injuste, que peut on dire si ce nest que nous gardons de toi le souvenir d’un petit garçon plein de joie, toujours souriant,adorable et courageux.
Nous sommes très peinés par ta disparition et nous n’oublierons jamais les bons momments que tu as passé chez nous avec notre fils Jérémy.
Une pensée pour tes parents qui sont si fière de toi.La vie est vraiment injuste et la mort si cruelle.
Nous ne t’oublierons jamais Alain.
Laurent, Nanou,Jérémy et Virginie.
Si j’avais encore ma baguette magique, j’aurais construis un immense château en carton hier soir dans les rues de Chalon. Mais puisque je l’ai perdue, un petit bateau en papier est parti voguer ce soir sur le lac Otis, au Québec. J’espère qu’il fera bon voyage.
Toutes mes pensées, pour toi Alain, et puis pour mes potes ématiens tristes de l’autre coté de l’Atlantique.
Des bises, pleins.
Julia
Une pensée pour toi, Alain.
Ta gentillesse et ta bonne humeur ne seront pas oubliés.
Yas
Je viens d’apprendre par M. Pasqualini le décès d’Alain que j’avais brièvement croisé à Mulhouse dabs le cadre du projet MasterClass/Grand-Est.
Que dire de plus que voir une personne disparaître ainsi laisse un sentiment de gachis et d’injustice.
Que le futur soit favorable avec sa famille et à ses proches qui se voient là frapper de manière aussi violente que soudaine.
Toutes mes condoléances au nom de l’équipe du Quai – Ecole d’art de Mulhouse.