Images Vidéo et / ou temps réel
studio A
workshop avec Aurélie Mormesse
du 16 au 20 décembre 2013
Webcams, caméras de surveillance…etc, permettent d’avoir un oeil aux quatre coins du monde simultanément, d’observer ce monde en direct. Ces images reflètent-elles pour autant la réalité ?
k parmi n
studio M
workshop avec Fred Périé
du 16 au 20 décembre 2013
Avec la modernité (au sens philosophique), l’expérience sensible est indissociable de la raison et celle-ci exige des représentations objectives, des images. Quelle raison peut advenir lorsque les outils de production d’images deviennent extensifs ? Dans une première phase, tous les participants seront constamment équipés d’une caméra. Ils improviseront des formes collectives d’action et, les réalisant, ils filmeront de leur point de vue. Quoiqu’il arrive, on aura donc des filmeurs se filmant. Dans un deuxième temps, la base de tous les rushs sera mise en commun, à charge pour chacun de prendre ce matériau et d’en faire une courte vidéo.
Biographie
Après avoir longtemps développé des logiciels de simulation numérique, notamment en dynamique des fluides, Fred Périé s’engage en 2005 dans une recherche visuelle au travers d’installations vidéos interactives et d’interventions dans le paysage. En invitant le public à entrer dans l’oeuvre, il considère l’image comme ce qui met en jeu la relation entre les êtres. Que serait-elle si elle n’était pas en mouvement, si celui-ci résultait d’un processus prédéterminé, s’il émanait d’un temps hors de nous ? Les algorithmes sont ici mis en oeuvre pour créer l’illusion de l’imprévu, avec l’espoir d’entrevoir ce qui est bien trop fugace pour être figé.
Ses travaux ont été montrés dans des centres d’art numérique en France, comme Le Cube en 2008 et [ars]numerica en 2007. L’installation Est-ce ici ? a notamment été exposée au Festival Bouillants #3 en 2011 et nominée au Festival FILE, au Brésil en 2010. Et si là, en dessous,… a été exposée lors du Computer Art Congress #3 au 104 à Paris en Novembre 2012.
L’écriture de paysages sonores in situ
studio C
workshop avec Gilles MALATRAY
du 16 au 20 décembre 2013
L’écriture de paysages sonores in situ
Espaces sonores urbains
Appréhender, parcourir
Parcourir, déambuler, errer… La marche urbaine comme terrain d’expérience, le contextuel et la sérendipité comme moteurs d’exploration.
Des postures inspirées de Guy Debord, l’errance situationnisme et l’approche de constructions esthétiques et politiques (au sens large du terme) – et de Georges Perec, l’écriture littéraire et l’expérience physique de l’espace, les tentatives d’épuisement d’un lieu…
Ressentir percevoir
Entendre, écouter, mais aussi regarder, toucher, se frotter, approche sensible, synesthésique…
Capturer, mémoriser, tracer
Écoute in situ (parcours, points d’ouïe, scénophonies…), captations (field recordings), carnets de croquis, carnets de notes, commentaires in situ, la trace comme outil de construction…
Jouer, exciter
Faire sonner, amplifier, filtrer, exciter les effets, les architectures, révéler les signatures acoustiques, performances/improvisations, vers un activisme sonore…
Réécrire, composer, installer
De l’extraction brute à la réécriture de paysages audionumériques, frottements in situ et/ou supports, dispositifs délocalisés, rapports et passages de scènes extérieures/intérieures, réduction/élargissements d’espaces, mises en scènes de lieux écoutes (scénophonies), installer des sons dans l’espace public, écrire un espace, un parcours urbain avec des sons…
Images Vidéo et / ou temps réel
studio A
workshop avec Aurélie Mormesse
du 16 au 20 décembre 2013
Webcams, caméras de surveillance…etc, permettent d’avoir un oeil aux quatre coins du monde simultanément, d’observer ce monde en direct. Ces images reflètent-elles pour autant la réalité ?
k parmi n
studio M
workshop avec Fred Périé
du 16 au 20 décembre 2013
Avec la modernité (au sens philosophique), l’expérience sensible est indissociable de la raison et celle-ci exige des représentations objectives, des images. Quelle raison peut advenir lorsque les outils de production d’images deviennent extensifs ? Dans une première phase, tous les participants seront constamment équipés d’une caméra. Ils improviseront des formes collectives d’action et, les réalisant, ils filmeront de leur point de vue. Quoiqu’il arrive, on aura donc des filmeurs se filmant. Dans un deuxième temps, la base de tous les rushs sera mise en commun, à charge pour chacun de prendre ce matériau et d’en faire une courte vidéo.
Biographie
Après avoir longtemps développé des logiciels de simulation numérique, notamment en dynamique des fluides, Fred Périé s’engage en 2005 dans une recherche visuelle au travers d’installations vidéos interactives et d’interventions dans le paysage. En invitant le public à entrer dans l’oeuvre, il considère l’image comme ce qui met en jeu la relation entre les êtres. Que serait-elle si elle n’était pas en mouvement, si celui-ci résultait d’un processus prédéterminé, s’il émanait d’un temps hors de nous ? Les algorithmes sont ici mis en oeuvre pour créer l’illusion de l’imprévu, avec l’espoir d’entrevoir ce qui est bien trop fugace pour être figé.
Ses travaux ont été montrés dans des centres d’art numérique en France, comme Le Cube en 2008 et [ars]numerica en 2007. L’installation Est-ce ici ? a notamment été exposée au Festival Bouillants #3 en 2011 et nominée au Festival FILE, au Brésil en 2010. Et si là, en dessous,… a été exposée lors du Computer Art Congress #3 au 104 à Paris en Novembre 2012.
L’écriture de paysages sonores in situ
studio C
workshop avec Gilles MALATRAY
du 16 au 20 décembre 2013
L’écriture de paysages sonores in situ
Espaces sonores urbains
Appréhender, parcourir
Parcourir, déambuler, errer… La marche urbaine comme terrain d’expérience, le contextuel et la sérendipité comme moteurs d’exploration.
Des postures inspirées de Guy Debord, l’errance situationnisme et l’approche de constructions esthétiques et politiques (au sens large du terme) – et de Georges Perec, l’écriture littéraire et l’expérience physique de l’espace, les tentatives d’épuisement d’un lieu…
Ressentir percevoir
Entendre, écouter, mais aussi regarder, toucher, se frotter, approche sensible, synesthésique…
Capturer, mémoriser, tracer
Écoute in situ (parcours, points d’ouïe, scénophonies…), captations (field recordings), carnets de croquis, carnets de notes, commentaires in situ, la trace comme outil de construction…
Jouer, exciter
Faire sonner, amplifier, filtrer, exciter les effets, les architectures, révéler les signatures acoustiques, performances/improvisations, vers un activisme sonore…
Réécrire, composer, installer
De l’extraction brute à la réécriture de paysages audionumériques, frottements in situ et/ou supports, dispositifs délocalisés, rapports et passages de scènes extérieures/intérieures, réduction/élargissements d’espaces, mises en scènes de lieux écoutes (scénophonies), installer des sons dans l’espace public, écrire un espace, un parcours urbain avec des sons…